Assurance vie : que se passe-t-il au moment du décès ?

Il y a plusieurs manières de faire des épargnes, notamment la souscription d’un contrat d’assurance vie. Ce dernier est un engagement qui oblige l’assureur à verser un capital au souscripteur ou à un bénéficiaire moyennant le paiement d’une prime. Il existe deux sortes de contrat d’assurance vie : l’assurance en cas de vie et l’assurance en cas de décès. Nous allons justement parler de l’assurance vie au moment du décès.

Comment fonctionne l’assurance vie en cas de décès du souscripteur ?

Le risque garanti dans le cadre d’une assurance vie est la vie du souscripteur ou de l’assuré. Quand le contrat arrive à échéance et que ce dernier est toujours en vie, ce dernier recevra alors le capital prévu dans le contrat d’assurance. Cependant, si l’assuré venait à mourir avant l’échéance du contrat, le capital reviendra au bénéficiaire. Il est évident dans ce cas-là que le bénéficiaire et le souscripteur soit deux personnes différentes. Il se pourrait qu’il y ait minoration ou majoration des plus-values au moment du versement du capital. Il se pourrait de ce fait que le capital versé aux bénéficiaires soit supérieur au total des primes versées. Il est à noter qu’il est possible de faire un rachat de l’assurance-vie ou de demander une avance mais en respectant certaines conditions.

Quels sont les différents types de contrats d’assurances vie ?

Il existe plusieurs sortes de contrats d’assurances vie, tout dépend en fait du type de sortie ainsi que de la durée. Tout d’abord au niveau de la prime d’assurance, l’assuré peut choisir le versement en une seule fois. Il peut aussi verser de manière périodique les primes d’assurance. Cela peut se faire par mois, tous les trois mois ou tous les ans. Ceci étant, il a la possibilité de faire des versements complémentaires sans attendre les délais cités plus haut. Il peut aussi opter pour des primes à versement libres. Toutefois, il existe un montant minimal que l’assureur doit verser. En termes de contrats d’assurance vie, le plus courant est celui en euros. Il y a aussi le contrat multi-supports qui consiste à investir dans des unités de compte. Enfin, il y a le contrat euro croissance qui conditionne l’obtention du capital qu’au bout de huit ans au minimum.